“CLASSE MOYENNE, LES REVOLTES” – sur arte.tv dès le 4 juin

Le documentaire “Classe moyenne, les révoltés” (56′) de Frédéric Brunnquell est diffusé dans le cadre de la programmation spéciale d’Arte “La vie en face”, une collection de 17 documentaires diffusés cet été,  les mercredis du 16 juin au 25 août 2021 à partir de 22.30.
 
“Classe moyenne, les révoltés” fait partie des 12 documentaires à découvrir en avant-première sur arte.tv dès le 4 juin 2021.
 

Diffusion sur Arte : Mercredi 28 juillet 22.30

 
 

RESUME : Vanessa, Pierre et Anne-Lise appartiennent à la petite classe moyenne. Ils vivent dans la région de Manosque dans les Alpes-de-Haute-Provence. En 2018, ils ont tous les trois rejoint le mouvement des Gilets Jaunes et se sont liés d’amitié sur les ronds-points. Conscients d’être des citoyens d’une classe en danger, ils ont décidé d’exprimer leur colère et de réfléchir à un monde plus humain. Ils nous livrent leurs espoirs, leurs peurs et leur désir de se fédérer. Ils forment une mini-société, unie par la volonté de changer la République.

 

LA VIE EN FACE – extrait du dossier de presse d’Arte France : “En cet été 2021 où nos vies sont bouleversées depuis plus d’un an par la crise du COVID-19, ARTE prend le temps de se pencher sur des histoires singulières qui racontent les mutations profondes en jeu dans nos sociétés contemporaines. Dans un monde où tout s’accélère, où des images tournées hâtivement prennent toute la place, a fortiori en cette période de crise inédite entraînant une perte de repères, cette collection documentaire s’intéresse à des enjeux intimes qui traversent nos sociétés, en prenant le temps. Le temps d’être au plus près d’hommes, de femmes et d’adolescents, de leur donner la parole là où rarement on la leur laisse, de les laisser vivre devant la caméra des réalisatrices et réalisateurs de ces films. La collection La vie en face, diffusée chaque mercredi pendant l’été, nous raconte sans fard ces existences, une poignée de vies face à de grands défis contemporains, qu’il s’agisse de l’entrée dans la sexualité, des féminicides, des combats de la petite classe moyenne, de l’argent des plus riches, des déserts médicaux ou encore du traitement des disparitions inexpliquées. Des films forts portés par des écritures et des regards singuliers, où des personnages bien réels dépassent les contraintes et les difficultés sociales qui pourraient les accabler. Des films humains qui regardent leurs personnages avec respect et tendresse.”